Un peu plus loin
-Caroline Meunier
mardi 29 novembre 2011
Renconte avec le scénographe
Mercredi, le 16 novembre, nous avons eu la chance de rencontrer le scénographe Pierre-Étienne Locas. Celui-ci nous a brièvement raconté son parcours, du cégep  à aujourd'hui. Il nous a expliqué ce qu'était au juste son métier. Il nous a aussi parlé de plusieurs de ses projets passés. Il nous a montré plusieurs maquettes, dessins, et photos. J'ai vraiment aimé cette rencontre. Je ne connaissais pas ce métier et quand j'avais entendu qu'on allait rencontrer un scénographe, il n'y avait que des points d'interrogations dans ma tête. C'est un métier intéressant. J'ai aimé voir combien il était passionné par ce qu'il faisait. J'ai aussi bien aimé toutes les maquettes et les dessins. Le dessin, c'est qui me rejoint le plus, alors de voir les siens m'a beaucoup plu. De plus, j'ai aimé entendre sur son parcous à l'école de théâtre. Bref, c'était une recontre relaxe assez intéressante qui m'a beaucoup plu. 
lundi 24 octobre 2011
La ballade de l'impossible
Mercredi passé, j'ai eu la chance d'aller à Montréal  avec mon cours d'Exploration d'Arts et Lettre, voir un film nommé "La ballade de l'impossible", dans le cadre du FNC. J'avais quand même hâte, ayant vu la bande annonce en classe, cela me semblait assez prometteur. Par contre je dois m'avouer déçue de l'histoire qui tourne pas mal en rond. Il y a des longueurs, l'histoire est assez difficile à suivre, les personnages sont indécis ce qui devient un peu agançant à la longue et ceux-ci sont un peu trop axés sur le sexe (par contre j'apprécie la censuration visuelle). Je ne comprenais pas ce que cela rajoutait à l'histoire. Je dois avouer mon envie que j'avais en plein milieu de partir. Je ne suis pas quelqu'un qui aime particulièrement regarder des films alors il faut quelque chose d'exceptionnel pour capter mon attention comme du suspens ou quelque scènes d'actions. J'aurais aimé voir un lien avec le suicide du jeune homme du début. Je sais que l'histoire ne tournait pas autour de cela, mais j'aurais aimé voir un peu plus pourquoi il a commis cet acte et surtout combien il était important dans la vie de la jeune fille. Sa douleur aurait pu être ainsi mieux comprise. Par contre, les images sont belles et les longueurs accompagnés d'une bonne musique qui convient parfaitement à la situation. Au début, l'idée d'avoir du sous-titrage ne m'enchantait pas vraiment. Mais on oublie vite ceux-ci et on embarque vite dans l'histoire par leurs phrases brèves et simples. C'est, de plus, intéressant d'entendre les vraies voix des acteurs ainsi que leurs tons. J'ai bien aimé les décors, c'était différent mais intéressant. J'ai aussi bien aimé les acteurs, ils étaient bons et on pouvait embarquer dans le jeu.
mercredi 12 octobre 2011
La rencontre avec la direction du FNC et ciné-club.
Cette rencontre m'intriguait et j'avais hâte d'en apprendre plus. J'aime vraiment gros l'idée de voir plein de films pas connus (même juste des extraits) qui sont totalement différents des films populaires. J'avais jamais entendu parlé d'un tel événement avant ce jour. J’apprécie que ces deux directeurs aient pris le temps de venir nous voir et nous présenter le festival. J’ai bien aimé voir comment ça fonctionne et ce qui le démarque de tous les autres festivals (comme à Cannes). Je lève mon chapeau aux gens qui ont le courage et la patience de rester assis pendant des heures à l’intérieur à regarder des films. Moi je trouve cela pénible de devoir écouter un film au complet. Mais je dois avouer ma déception quand aux long métrages. Je n'ai pas accroché sur aucun extrait de film. Je ne suis tenté à écouter au complet que deux ou trois de ceux-ci. J'aime bien l'originalité de ces films et voir des choses différents. Mais le manque de moralité dans ces extraits m’ont totalement refroidi. Je ne sais pas si c’est ainsi pour tous les films ou que ces extraits ne représentent pas vraiment le film et que dans le fond, ce film est tout à fait génial. Par contre, les courts métrages m’ont vraiment fait rire. Je n’ai pas compris le but de ceux-ci mais ils étaient assez divertissants.  
lundi 26 septembre 2011
La conférence de Raphaëlle de Groot.
Je ne peux pas dire que la présentation m’a entièrement plu.
Ce type d’art n’est pas tout à fait celui qui me rejoint. J’ai bien aimé
connaître ce genre d’art qui me paraît tout à fait étrange et bizarre mais
assez unique et créatif. Je m’étonne de l’imagination débordante de Raphaëlle
et de sa passion pour ce qu’elle fait. J’ai beaucoup apprécié l’œuvre sur le
bottin de téléphone de la ville de Chicoutimi. J’ai trouvé cela assez
intéressant et amusant. Certes cela a dû prendre énormément de temps et j’en ai
beaucoup de respect, mais ce n’est pas ce que je qualifierais d’art. De plus,
je n’ai toujours pas compris le but de se promener avec une tonne d’objets à
l’aveuglette ou de se faire peinturer par les gens. Je m’attendais sincèrement
à beaucoup plus de la présentation et toujours je m’attendais à être éblouie ou
de trouver l’œuvre qui me ferait dire « wow ». Rien de tout
cela. Il y eut tout de même des côtés positifs. Les concepts n’ont cessé de me
surprendre, comme celui de l’art visuel sans le côté visuel. J’ai bien aimé,
aussi, l’approche humaine de l’artiste. Elle parlait avec les sœurs et prenait
le temps d’écouter leur histoire. De plus, elle semble aimer faire participer
le public, ce qui la rend accessible. J’ai bien aimé voir son enthousiasme par
rapport à futur projet et je suis tout à fait curieuse d’en voir les résultats.
La rencontre avec la cinéaste Sophie Desraspe
Je ne m’attendais certainement pas à autant aimer cette
rencontre. Je m’attendais à un monologue assez long et ennuyeux. Au contraire!
J’ai aimé la présence de Sophie, sa bonne humeur et sa vision. J’ai trouvé fort
intéressant d’en apprendre plus sur ce métier. Je dois avouer mon ignorance sur
ce domaine, qui m’a pourtant semblé fascinant. Je ne connaissais aucunement
comment on pouvait devenir cinéaste et ce que celui-ci faisait. Je m’étais
toujours demandé (sans jamais me renseigner) comment un artiste pas très connu
parvenait à vivre et cela a satisfait ma curiosité. J’ai aimé voir sa vision
sur son film et le domaine des arts en général. Je n’ai fait qu’apprendre et
développer ma curiosité pour ce domaine. Je ne savais pas qu’on devait demander
des bourses comme cela et qu’une aide financière de la sorte était disponible.
J’admire la persévérance (Le film a quand même pris sept ans à finir!) de
Sophie. Je n’aurais jamais poussé autant. On peut lire dans son visage sa
passion et sa détermination. Et il faut se dire qu’il en faut en masse pour
survivre dans ce métier. C’était beau à voir. Par contre, je n’ai pas aimé que
l’aperçu du film soit aussi court!
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