lundi 26 septembre 2011


La conférence de Raphaëlle de Groot.
Je ne peux pas dire que la présentation m’a entièrement plu. Ce type d’art n’est pas tout à fait celui qui me rejoint. J’ai bien aimé connaître ce genre d’art qui me paraît tout à fait étrange et bizarre mais assez unique et créatif. Je m’étonne de l’imagination débordante de Raphaëlle et de sa passion pour ce qu’elle fait. J’ai beaucoup apprécié l’œuvre sur le bottin de téléphone de la ville de Chicoutimi. J’ai trouvé cela assez intéressant et amusant. Certes cela a dû prendre énormément de temps et j’en ai beaucoup de respect, mais ce n’est pas ce que je qualifierais d’art. De plus, je n’ai toujours pas compris le but de se promener avec une tonne d’objets à l’aveuglette ou de se faire peinturer par les gens. Je m’attendais sincèrement à beaucoup plus de la présentation et toujours je m’attendais à être éblouie ou de trouver l’œuvre qui me ferait dire « wow ». Rien de tout cela. Il y eut tout de même des côtés positifs. Les concepts n’ont cessé de me surprendre, comme celui de l’art visuel sans le côté visuel. J’ai bien aimé, aussi, l’approche humaine de l’artiste. Elle parlait avec les sœurs et prenait le temps d’écouter leur histoire. De plus, elle semble aimer faire participer le public, ce qui la rend accessible. J’ai bien aimé voir son enthousiasme par rapport à futur projet et je suis tout à fait curieuse d’en voir les résultats.



La rencontre avec la cinéaste Sophie Desraspe
Je ne m’attendais certainement pas à autant aimer cette rencontre. Je m’attendais à un monologue assez long et ennuyeux. Au contraire! J’ai aimé la présence de Sophie, sa bonne humeur et sa vision. J’ai trouvé fort intéressant d’en apprendre plus sur ce métier. Je dois avouer mon ignorance sur ce domaine, qui m’a pourtant semblé fascinant. Je ne connaissais aucunement comment on pouvait devenir cinéaste et ce que celui-ci faisait. Je m’étais toujours demandé (sans jamais me renseigner) comment un artiste pas très connu parvenait à vivre et cela a satisfait ma curiosité. J’ai aimé voir sa vision sur son film et le domaine des arts en général. Je n’ai fait qu’apprendre et développer ma curiosité pour ce domaine. Je ne savais pas qu’on devait demander des bourses comme cela et qu’une aide financière de la sorte était disponible. J’admire la persévérance (Le film a quand même pris sept ans à finir!) de Sophie. Je n’aurais jamais poussé autant. On peut lire dans son visage sa passion et sa détermination. Et il faut se dire qu’il en faut en masse pour survivre dans ce métier. C’était beau à voir. Par contre, je n’ai pas aimé que l’aperçu du film soit aussi court!

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