La conférence de Raphaëlle de Groot.
Je ne peux pas dire que la présentation m’a entièrement plu.
Ce type d’art n’est pas tout à fait celui qui me rejoint. J’ai bien aimé
connaître ce genre d’art qui me paraît tout à fait étrange et bizarre mais
assez unique et créatif. Je m’étonne de l’imagination débordante de Raphaëlle
et de sa passion pour ce qu’elle fait. J’ai beaucoup apprécié l’œuvre sur le
bottin de téléphone de la ville de Chicoutimi. J’ai trouvé cela assez
intéressant et amusant. Certes cela a dû prendre énormément de temps et j’en ai
beaucoup de respect, mais ce n’est pas ce que je qualifierais d’art. De plus,
je n’ai toujours pas compris le but de se promener avec une tonne d’objets à
l’aveuglette ou de se faire peinturer par les gens. Je m’attendais sincèrement
à beaucoup plus de la présentation et toujours je m’attendais à être éblouie ou
de trouver l’œuvre qui me ferait dire « wow ». Rien de tout
cela. Il y eut tout de même des côtés positifs. Les concepts n’ont cessé de me
surprendre, comme celui de l’art visuel sans le côté visuel. J’ai bien aimé,
aussi, l’approche humaine de l’artiste. Elle parlait avec les sœurs et prenait
le temps d’écouter leur histoire. De plus, elle semble aimer faire participer
le public, ce qui la rend accessible. J’ai bien aimé voir son enthousiasme par
rapport à futur projet et je suis tout à fait curieuse d’en voir les résultats.
La rencontre avec la cinéaste Sophie Desraspe
Je ne m’attendais certainement pas à autant aimer cette
rencontre. Je m’attendais à un monologue assez long et ennuyeux. Au contraire!
J’ai aimé la présence de Sophie, sa bonne humeur et sa vision. J’ai trouvé fort
intéressant d’en apprendre plus sur ce métier. Je dois avouer mon ignorance sur
ce domaine, qui m’a pourtant semblé fascinant. Je ne connaissais aucunement
comment on pouvait devenir cinéaste et ce que celui-ci faisait. Je m’étais
toujours demandé (sans jamais me renseigner) comment un artiste pas très connu
parvenait à vivre et cela a satisfait ma curiosité. J’ai aimé voir sa vision
sur son film et le domaine des arts en général. Je n’ai fait qu’apprendre et
développer ma curiosité pour ce domaine. Je ne savais pas qu’on devait demander
des bourses comme cela et qu’une aide financière de la sorte était disponible.
J’admire la persévérance (Le film a quand même pris sept ans à finir!) de
Sophie. Je n’aurais jamais poussé autant. On peut lire dans son visage sa
passion et sa détermination. Et il faut se dire qu’il en faut en masse pour
survivre dans ce métier. C’était beau à voir. Par contre, je n’ai pas aimé que
l’aperçu du film soit aussi court!
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